C’est oscillant l’or dans les blés comme un amour entre nous.

Hier héritage des plus libres vallées

Aujourd’hui tu as la rime sèche d’un public en allé

L’épouvante d’un œil collé à mes doigts

Les rigueurs infernales d’un été trop froid

Ça fulmine pas, ni par ici ni par là

Terres désolées des absolus lyriques

Ô crissements pour chrismation d’un front

Sanglant Contes perdus des absurdes paladins

Boucliers tendus vers la mer et sables immobiles

Où s’évaporent des armées de tyrans pour qu’y surgissent des facultés d’amants

Elle est reperdue – Quoi – Ta nudité - qui détournait la mer en un seul miel

Peine foutue et cibiche en dormant

Dans le vair il n’y a pas ton pied jamais

Mais des verrats qu’une éternité a engraissés

Mais des accords mutilants et des fébriles transparents

En ces temps-là j’accusais tes ruses dans une heure tardive

Quand c’étaient tes hémisphères incaptées

Tes rumeurs qui s’entretiennent

Mort seul instant de la délivrance des amants

Démagnétisation des corps et position nouvelle des confluents

Virée interne qui enfume les blés oscillant

Comme un amor entre nous (Entre la mort)

Désarmant.