Un cœur compatissant brûle pour les hommes, pour les oiseaux, pour les bêtes, pour les démons, pour toutes créature. Si forte et si violente est sa compassion, et si grande est sa constance, que son cœur se serre et qu’il ne peut supporter d’entendre ou de voir le moindre mal ou la moindre tristesse au sein de la création.

Saint Isaac le syrien. VIIe siècle après J.C