Dans son évolution vers l’Étatisme, la Démocratie Universelle ne nous pardonne pas de proclamer que l’anarchie, c’est à dire l’absence d’ordre, le désordre spontané, vaut encore mieux qu’un ordre perverti ; que le désordre du désordre, si j’ose dire, est mille fois moins malfaisant que le désordre de l’ordre.

Georges Bernanos, La France contre les robots (1944), Le Castor Astral, 2009.