là ou le sol est enlaidi, là où toute poésie a disparu du paysage, les imaginations s'éteignent, les esprits s'appauvrissent, la routine et la servilité s'emparent des âmes et les disposent à la torpeur et à la mort.


Elisée Reclus cité par Jean Pierre Courty in Le paysage, l'industrie, et le silence des agneaux, Notes et morceaux choisis n°8, Automne 2008.