Il n’est rien que je veuille garder sous les étoiles

Il n’est rien sinon des étoiles dont je souhaiterai mon corps habiller.

Le Seigneur n’a-t-Il pas tissé pour moi, et pour nous et pour moi,

De fils plus brûlants que d’or pur une parure fine,

Pour la terre une parure que la terre ne voit pas,

- Et que la terre ne voie pas, a-t-Il déclaré –

Une parure déjà sur la terre et déjà pour le Ciel

(N’en est-il pas le seul Maître, et double, et triple)

Une parure deux

Deux parures Une

Une parure de la terre Avec le Ciel

Et dans la terre Par-dessous le Ciel

Parure qui nous vêtisse

Toi mon Seigneur seul quand tu vîns,

Pour qu’à nouveau Tu viennes

Et qu’encore Tu demeures au milieu de moi

De moi au milieu de Toi

A l’instant que Tu seras là ;

Qui nous couvre Toi

Et moi Seul Seigneur Seul

Ne l’a-t-Il pas tissée des étoiles