Nous avions jadis une foi simple et pieuse. Nous reconnaissions l’existence d’un au-delà, mais aussi l’insuffisance de nos sens ; vint alors le siècle des lumières qui rendit toutes choses si claires que l’on ne vit plus rien à force de clarté et que, dans la forêt on se cogna le nez à l’arbre le plus proche.

E.T.A Hoffmann. Fragment de la vie de trois amis. Vers 1815.