La fête peut distraire : mais une souffrance distraite est un appauvrissement irrémédiable, et une distraction incessante par rapport aux souffrances serait une déshumanisation jusqu'à la mécanicité la plus absurde. La joie instituée par la loi est une absurdité.

Giuseppe Bottai, Al di là del comunismo ?, lettre ouverte à Filippo Tommaso Marinetti, L'Ardito n°44, 28 aout 1920.