« La minute est infiniment prochaine où les enfants même du peuple écriront sur les murs croulants de Sodome, ces simples mots : Le catholicisme ou le pétard!

Choisissez donc une bonne fois, si vous n’êtes pas des morts. »

(Bien entendu, le pétard est le flingue...)



Un journaliste demande un jour à Léon Bloy quel journal il lisait tous les jours, « comme tout le monde, pour se tenir au courant des dernières nouvelles du monde ». A ces derniers mots, Bloy bondit : « Primo : Léon Bloy n’est pas ‘comme tout le monde’. Secundo : il ne lit jamais aucun journal. Tertio : quand il désire connaître les nouvelles du jour, il lit saint Paul et l’Apocalypse. »

« Quant à moi, j’attends les Cosaques et le Saint-Esprit ! Tout le reste n’est qu’ordure. »

"Et pourtant quelqu'un doit venir, quelqu'un d'inouï que j'entends galoper au fond des abîmes. La France de Dieu, le Royaume de Marie ne peuvent pas périr, il faut qu'il vienne. Quand il paraîtra enfin, quand il frappera à la porte des cœurs avec le pommeau de l'Epée divine, le réveil de tous les aveugles sera prodigieux ".

Léon Bloy