Quelqu'un l'a dit, et c'était une autre sombre époque :

« Un des plus grands malheurs qui puisse arriver aujourd’hui à la France serait que des partis intérieurs se créent sur des programmes de politique extérieure, et que des affinités internationales correspondent à tel ou tel courant de la vie nationale. Ainsi d’ailleurs le veut le régime de la parole et de la démocratie. »