Il ne serait pas surprenant que le meilleur de la Liberté suisse laissât une trace précieuse dans notre organisme français. (...) Tous nos éléments de vie particulière ayant été brisés par la Révolution, (il faut) refaire ces « vertèbres » du gouvernement local et de l'autonomie syndicale », (et s'organiser en) une multitude de petites républiques fédérées et d'ailleurs se compénétrant. (...) Ainsi tout nous aura servi, même nos plus dures épreuves.

Maurras, "De la liberté suisse à l’unité française", in Quand les Français ne s’aimaient pas