Les provinces libérées ne seront pas soumises au pouvoir du conseil des ministres d'Ourga, mais elles conserveront les droits inviolables des "aimaks" (régions), leurs propres tribunaux et lois, leur propre structure administrative et leurs coutumes sociales. Les aimaks ne formeront qu'une unité militaire, financière et économique dans une alliance défensive sous la bénédiction du Koutouktou.

Dépêche officielle du baron Roman Fiodorovitch von Ungern-Sternberg, citée par Arcady Stolypine in La Mongolie entre Moscou et Pékin, Stock, 1971.