Chateaubriand l’a dit, consultez ses ouvrages ;

C’est à l’ennui qu’on doit ses plus sublimes pages !

Il l'a dit maintes fois, je m’en rapporte à lui,

Et crois avoir raison de célébrer l’ennui.

Alexandre, volant de victoire en victoire,

N’était pas seulement amoureux de la gloire ;

En s’emparant des nations,

Il cherchait des distractions…

Charles Boissière (de la Société Philotechnique), Eloge de l’ennui, 1860