Deux jours après l’annonce de sa démission, Benoît XVI affirme que « ce n’est pas le pouvoir mondain qui sauve le monde mais le pouvoir de la croix, de l’humilité, de l’amour ».

Puis il avertit : « Dieu ne peut pas être instrumentalisé pour nos intérêts ».

Il débusque cette « tentation toujours présente », mais non sans affirmer en même temps que « la grâce opère des merveilles ».

Benoît XVI invite à rejeter, en ce temps de carême qui commence aujourd’hui, « l’égoïsme », la « recherche du succès personnel », « l’illusion des apparences des choses matérielles », pour donner « la primauté à Dieu » pour regarder les « réalités quotidiennes avec ses yeux ».

ROME, 13 février 2013 (Zenit.org)